Tout le monde passe, courant d’air
Je reste dans l’instant avec ces mots qui claquent à la portière "bon vent" La terre, me dit-on, n’est plus vraiment ronde Etrange impression. L’horizon fugace amplifie la cicatrice comme un sillon en fin d’espace, lacets d'ailes qui ne donneront pas de fleuraison.Je tourne sur moi même en quête de mirages vertigineux. Là-bas, il tonne. Ici, le désert.
jeudi 7 avril 2011
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