Ailleurs, je l'ignore, et dans ma tête sûrement pas, mais au dessus, il brille, le soleil... Et c'est pas que je me sente d'humeur à lézarder en bikini, non ! Il y aurait tant et tant à faire, si seulement la mécanique à l'intérieur de ma peau cessait de grincer. Quelque chose de rouillé, sans doute. ne plus bouger. Regarder le monde tourner avec une vague inquiétude en persistance rétinienne . M'allonger n'importe où. sur le sable, pourquoi pas. Et dessiner une oasis pour que nous y trempions nos doigts. Une fontaine à réhydrater les silences...
T.
dimanche 17 avril 2011
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